Mommy
| Interprétations | 4.5/5 | – Anne Dorval égale à elle-même – La révélation Antoine-Olivier Pilon – Suzanne Clément savoureuse – Les scènes dramatiques plus authentiques que les scènes comiques – Surjoué par moments |
| Scénario | 5/5 | – Dialogues « dolanesque » bien étoffés – Une histoire en crescendo constant – Récit poignant et enlevant – Bel effort de créativité |
| Aspects techniques (réalisation, cinématographie, montage, bruitage) | 5/5 | – Réalisation plus posée, mais plus efficace de Dolan – Moins d’essais de forme – Un format d’image inédit, qui ajoute au récit – Une image très soignée de la banlieue montréalaise – Un montage toujours aussi excellent |
| Univers (musique, décors, costumes, maquillages) | 5/5 | – Bande sonore envoûtante – Ambiance suburbaine stylée – Un visuel qui s’apparente à Boyhood |
| Appréciation générale | 5/5 | – La banlieue, ou comment faire ressortir la beauté dans la laideur – Des interprétations exceptionnelles, surtout dans les moments dramatiques – Récit lent, mais d’un crescendo constant qui nous garde en haleine – Thématiques de la famille et des relations mère-fils – Une attention aux détails |
| Total | 95% |
1 Response
[…] elle, est principalement anglophone. On note toutefois la présence d’Antoine-Olivier Pilon (Mommy) et Rose-Marie Perreault (Avant qu’on explose), qui complètent brillamment les Josh Hartnett […]